À propos de la savonnière,
Nathalie Marty
Je suis née au pays des lavandes dans la Drôme, d’une mère algérienne et d’un père français. Mais c’est dans le Lot (46) à Capdenac le Haut que je suis venue vivre lorsque j’ai rencontré mon mari Mathieu. Après avoir vendu plusieurs années des savons du Liban, de Palestine & d’Inde, j’ai voulu apprendre à les fabriquer mais cette fois-ci en faisant honneur à notre terroir occitan. J’ai été initiée à la fabrication de savons auprès d’un Maître savonnier français, puis formée à l’Université Européenne des Senteurs et Saveurs de Forcalquier.
Voilà comment en 2012 l’aventure a commencé !
Le choix des matières premières
auprès de producteurs du Sud-Ouest
Pour fabriquer mes cosmétiques, je me fournis auprès de nombreux producteurs du Sud-Ouest en ingrédients bio. Par exemple le safran du Quercy, le lait d’ânesse de Lescun, le miel d’Aveyron, les œufs frais, le lait de chèvre cru ou l’huile de prune Gascogne. Même chose pour les plantes sèches, que nous travaillons principalement sous forme de macérats solaires ou d’infusion : le thé d’Aubrac, le calendula, l’ortie…
Il s’agit de contribuer à faire vivre des «petits», des passionnés et de participer en toute modestie à maintenir une diversité de savoir-faire dans nos campagnes.
Un savoir-faire-contrôlé
pour des produits cosmétiques de qualité
La Savonnerie Buissonnière est enregistrée en tant qu’établissement de fabrication et de conditionnement de produits cosmétiques auprès de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé.
L‘importance de l’eau
dans la fabrication de savons
On en parle peu, mais l’eau est un ingrédient indispensable dans la fabrication de savons. Utilisée à hauteur de 30% en moyenne, il nous est paru indispensable de s’intéresser à sa qualité. C’est pourquoi, nous nous sommes équipées du Vodaflor, un système qui filtre et dynamise l’eau du robinet. Conçu en Dordogne, il permet d’obtenir une eau dynamisée et restructurée, avec des caractéristiques proches de l’eau naturelle.